mercredi 8 août 2007 22:58
LES REQUISITIONS ET LES DESTRUCTIONS
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:58 billet n° 7,☞ lu 1532 fois
L'EMBROUILLE DES COULEURS DE LA COCARDE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:48 billet n° 101,☞ lu 6298 fois
L'enseigne royale est bleue semée de fleurs de lys d'or.
L'INVASION ESPAGNOLE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:38 billet n° 10,☞ lu 2434 fois
Cette guerre franco-espagnole va faire revenir et rétablir les prêtres et les religieuses qui ont émigrés dans la catalogne à la suite des dispositions outrageuses de la république.
Les catalans sont témoins de scène de destructions dans les églises.
De tyrannie envers les gens du culte...
A SAINT LAURENT DE CERDANS DEVENIR ESPAGNOL POUR ÉVITER UNE TUERIE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:30 billet n° 19,☞ lu 2558 fois
Cette rébellion pèse sur la commune.
La république veut déportés 490 villageois, 980 personnes voient leurs biens confisqués et 510 habitants sont emprisonnés.
Cette sentence doit se produire dans les journées qui suivent.
Le maire et ses habitants sont réunis depuis 3 jours.
Aucun des habitants ne veut partir car s'enfuir signifie la destruction de leur village.
ARLES SUR TECH, LA GENEREUSE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:30 billet n° 122,☞ lu 1824 fois
Chaque famille s'est promis durant son existence à rendre l'hospitalité du pèlerin.
C'est la capitale minière du Vallespir par ses forges dispersées sur les 2 versants couverts de forêts dominicales de châtaigniers et de chênes.
LA PRISE DE CÉRET PAR LE COMTE DE LA UNION
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:29 billet n° 20,☞ lu 3078 fois
La commune de Céret est située à 170 m d'altitude sur la rive droite du Tech.
La possession stratégique du pont en pierre traversant la rivière Tech sur la commune est l'objectif principal de chaque armée pour le passage des hommes et du matériel.
CAPITULATION DU CAPITAINE LAFRAISE AU FORT LAGARDE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:29 billet n° 22,☞ lu 1767 fois
Le fort surveille le passage de la zone frontière du col d'Ares à 14 km entre les vallées du Vallespir en France et celle du Ter en Espagne.
En 1793, la ville de Prats de Mollo compte 2 880 habitants se situe à 60 km de la citadelle de Perpignan.
BATAILLE DU MAS DEU, LE 17-18-19 MAI 1793.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:29 billet n° 83,☞ lu 3335 fois
Son influence est persuasive dans les domaines de l'administration de la Catalogne et de l'Aragon.
Son ordre, les Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem consacre la noblesse.
Les dons des chevaliers de l'ordre du Temple leur vouent protection et soutien financier.
LA FAMINE VAINQUEUR DU GOUVERNEUR MICHEL DAUDIES ET DE SES 440 HOMMES.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:28 billet n° 49,☞ lu 1925 fois
Il fait parti des 3 postes avancés qui garantissent aux espagnols une défense de leur artillerie . La sécurité sur la route dans l'axe qui longe la rivière Tech.
Prats de Mollo==>Els Banys d'Arles==>Céret.
Elna et le schisme ecclésiastique.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 22:22 billet n° 140,☞ lu 1952 fois
Le "bisbe" l'évêque en catalan est le personnage religieux important pour la gestion et l'administration du ravitaillement, de l'entretien des bâtiments, de l'enseignement et des décisions de justice de la province.
LE PUIG ORIOL, LA COLLINE DES HOMMES LIBRES.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:58 billet n° 124,☞ lu 2814 fois
La garnison de Collioure est avertie de l'attaque des troupes espagnoles durant la nuit.
L'ARMEE DES PYRENEES ORIENTALES 1ERE PARTIE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:48 billet n° 12,☞ lu 1911 fois
La Convention Nationale estime que l'Espagne n'est pas une nation militaire et son armée n'est pas assez puissante pour la craindre.
BANYULS SUR MER, L'HERITAGE DU 25 FRIMAIRE AN II D'ELS SOMATENTS.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:40 billet n° 92,☞ lu 2550 fois
Ce n'est pas une milice mais une tradition ancestrale de défense transmise à chaque famille pour protéger leur maison et leur contrebande.
Vaincus, ils le seront même s'il faut aller jusqu'à la limite extrême du courage et de l'espoir.
CURTEN JUAN-ANTONIO, LE RESCAPE DE L'EXPEDITION D'ALGER.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:39 billet n° 121,☞ lu 1529 fois
LA MACHINE A RESQUISITIONNER
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:38 billet n° 13,☞ lu 1115 fois
L'économie du département est de brûler les champs et les fermes si les occupants ne collaborent pas avec leurs soldats.
LE 10 AOUT 1793, L'ANNIVERSAIRE CAUCHEMAR.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:29 billet n° 125,☞ lu 3513 fois
LA CHUTE DE LA FORTERESSE DE BELLEGARDE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:28 billet n° 14,☞ lu 2046 fois
Sans la traitrise du capitaine du génie français Cotte De Latour qui offre ses services à Manuel De Cagigal, commandant l'artillerie espagnole, le fort de Bellegarde n'aurait jamais dû tomber dans les mains ennemies.
LOUIS-CHARLES DE LA MOTTE ANGO, VICOMTE DE FLERS.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:28 billet n° 120,☞ lu 3129 fois
Pour Luc Siméon Auguste Dagobert, le nouveau commandant en chef n'est pas un étranger puisque la Chapelle-en-Juger près de Saint-Lô où il est né se situe à 30 km du domaine de la famille De Flers.
L'ARRIVEE D'HILARION, PAUL-PUGET, MARQUIS DE BARBENTANE
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 21:18 billet n° 15,☞ lu 2324 fois
Depuis le 1er avril 1793, Charles, François Dumouriez devenu traître à la nation est recherché par les armées.
Le marquis Louis De Flers, son aide de camp dans la campagne du Nord subit les conséquenses de cette traitrise.
Les officiers militaires et les représentants se liguent contre lui pour l'évincer.
ANTONIO RICARDOS VEUT LA CITADELLE DE PERPIGNAN
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 20:18 billet n° 16,☞ lu 2380 fois
Dés le début de mai 1793, Antonio Ricardos n'a qu'une seule ambition prendre Perpignan.
Il ne cherche pas l'affrontement direct avec l'imprenable citadelle et ses garnissons.
La loi maximum 1793 provocation des mécréants.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 20:09 billet n° 141,☞ lu 3085 fois
L'idée de la libéralisation de la vie économique par la libre circulation du commerce est une illusion qui n'existe que par la mise en place de son décret.
Cette libération économique amène une contradiction entre le droit politique de souveraineté et la réalité socio-économique d’un peuple qui a faim.
La logique de l'esprit de la révolution d'introduire les éléments d'égalité des biens, sur l'utilisation de la propriété de la production.
La reconnaissance des droits sociaux sur la nourriture de 1ère nécessité rend illégitime tout effort de nier le droit à la subsistance à qui que ce soit et exige l'aide de la 1ère république à ceux qui en ont besoin.
Chaque citoyen a droit à une part de ces ressources.
Une perception de la nourriture comme bien social se trouve dans les réformes législatives innovantes.
17 SEPTEMBRE 1793-LA BATAILLE DE PEYRESTORTES
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 20:08 billet n° 17,☞ lu 3503 fois
"Je vais mettre à l'abri les troupes à Narbonne car je n'ai aucune responsabilité à défendre la ville de Perpignan."
Joseph Puget-Barbantane 5ème commandant en chef de l'Armée des Pyrénées-Orientales écrit qu'il abandonne la ville de Perpignan au Comité du Salut Public.
La population affamée, dans le désarroi et la consternation apprend que le grand chef militaire qui doit les défendre s'enfuit avec Vincent Giacomoni et le représentant Raymond Gaston s'abriter loin du front à Narbonne à 65 km.
Jacques Goguet le 5ème commandant en chef " le médecin"
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 20:03 billet n° 143,☞ lu 1559 fois
Il participe à la marche vers Lunel avec la garde nationale.
LA REVANCHE DE LUC-SIMEON-AUGUSTE DAGOBERT DE FONTENILLE.
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 19:48 billet n° 23,☞ lu 1503 fois
MORT A LA BATAILLE DE TROUILLAS, OU EST TA VICTOIRE ?
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 19:42 billet n° 18,☞ lu 2719 fois
En manque de résultats, les résonances de l'Etat Major français sur les affrontements sont souvent médiatisées en victoire.
Les officiers battus exagèrent la force espagnole pour satisfaire leur conscience.
L'écrasement des espagnols à Peyrestortes est l'objectif obsessionnel de vengeance, il unit les forces révolutionnaires dans un désir de revanche pour purger les souffrances.
LA REUNION SECRETE DES GENERAUX ESPAGNOLS
Par Bernard Prats le mercredi 8 août 2007 19:38 billet n° 21,☞ lu 1268 fois